Le Progrès de Lyon - Sports - Loire - BASKET 
        Mardi 11 novembre 2008  

            N2M: Andrézieux n’a pas failli

            Cognin-La Motte 71 - Andrézieux 83
            À la Motte-Servolex (Gymnase de l’Épine), Andrézieux bat Cognin-La 
            Motte 83 à 71 (20-17, 18-24, 15-19, 18-23). Arbitres?: Gleynat / 
            Arhancet. 250 spectateurs.
            Cognin-la-Motte :  25/61 aux tirs dt 6/17 à 3 points. 15/24 aux 
            lancers-francs. 22 fautes.
            Piault (12 pts), Gayrard (23/2ftes, cap.), Mouyamba (3/1), Porret 
            (7/2), Chupin (22/3) puis Le Gall (0/4), Charvet (2/3), Osekwasi 
            (2/3), Sylla. Entr?: Bozon.
            Andrézieux : 30/58 aux tirs dont 5/10 à 3 pts, 18/25 aux 
            lancers-francs. 20 fautes.
            Stipanovic (16 pts/1 fte), Davidov (17/3), Pegon (21/2), Chardon 
            (9/4), Dahbi (6/4) puis Bonneville (0/1), Granotier (2/3, cap.), 
            Luse (12/2), Pleuvry, Marret. Entr.: Jolivet. 
            Cognin/La Motte a perdu… pour la neuvième fois de suite. L’équipe 
            d’Andrézieux n’a pas failli et a justifié sa place dans le haut du 
            tableau. Même si les Savoyards jouaient sans le Sénégalais Seck  et 
            avec Mouyamba en dessous de son niveau de jeu habituel (blessé au 
            dos), ils n’ont pas démérité pour autant. L’ardeur de Piault 
            associée à l’adresse de Gayrard et un jeu collectif plutôt bon, 
            permettaient aux jeunes locaux de tenir bon sur les trois quart du 
            match (38-41 à la mi-temps, 53-60, 30ð). Dans les premières minutes 
            du dernier quart, les Cogneraud-Motterains encaissent un 10 à 0, 
            grâce à une bonne prestation des Ligériens qui furent preuve d’une 
            admirable adresse notamment par Pegon. Le trou était fait, les 17 
            points d’avance placaient les Andréziens dans un fauteuil pour finir 
            sans suspense par 83 à 71. Un match intensément physique et agréable 
            où le trio Piault-Chupin-Gayrard a tout donné. Mais Andrézieux était 
            un ton au-dessus.