Le Progrès lundi 16-03-2009

L'OLB sans trembler

Aubenas 73 Ouest Lyonnais 83
A Aubenas, OLB bat Aubenas 83-73 (25-23, 19-20, 6-22, 23-18). Arbitrage de MM 
Michot et Degiron.
Aubenas : Assidjo 7; Archinard 3; N. Andrieux 20; Rhennam 2; Soeria 16; Brosko 
23; Juzuitis 2.
Ouest Lyonnais : Masci 9; Ludovic Laurent 2; Fergati 1; Benzeval 3; Julians 18; 
Haznadar 20; Michaël Laurent 16; Swain 14.
Toute la volonté et la pugnacité ardéchoise n'ont pu venir à bout d'une 
formation lyonnaise très complète. Le match débute sur un rythme fou, Julians 
pour l'Ouest ouvre les hostilités, la réponse est belle et bonne pour les locaux 
avec Soeria à mi-distance et Brosko sous le cercle pour un panier primé (6-2), 
on joue depuis deux minutes. Il s'ensuit un mano a mano. Les défenses font bonne 
garde et les attaques se répondent du tac au tac, et c'est au buzzer que le 
capitaine albenassien Andrieux donne l'avantage à ses couleurs (25-23).
A la reprise, les hommes de Murillon marquent le pas (28-28, 13e). Benzeval 
véritable rempart sous les panneaux allié à l'adresse d'Haznadar, donnent le 
tournis au tableau (30-43, 17e). De retour du banc, Andrieux, Archinard, Brosko 
et Assidjo au buzzer stoppent l'hémorragie et grignotent le retard.
Le rouleau compresseur lyonnais, vient à bout de la résistance albenassienne 
dans un 3e quart temps assassin (6-22). Le retard s'aggravera encore 
inéluctablement jusqu'à la fin.

Avignon 82 SOPCC 72
A Avignon (Cosec Moretti), US Avignon/ Le Pontet bat SO Pont-de-Chéruy 82 à 72 
(24-25, 22-17, 20-11, 16-19).
Avignon: Zona (9), Payre (16), Gauduin (15), Morris (23), Valentin (8), Sargeant 
(2), Node (4), Noblet (3), Romeas (2).
Pont-de-Chéruy: Goetghluck (12), Damico (7), Mendez (10), Hergott (12), 
Cartailhac (14), Doumaye (7), Jacques (9), Vuillemey (1).
Le match démarrait fort. Les visiteurs restaient au coude à coude (24-25, 10e), 
notamment grâce au panier à trois points de l'ex-Sorguais Mendez. Les Isérois se 
détachaient même légèrement dans le second quart (37-41, 15e) par 
l'intermédiaire de Cartailhac et Hergott. Une avance somme toute dérisoire, que 
Valentin et Morris parvenaient à combler sans mal avant la pause.
Avignon, autoritaire en défense et habile en attaque, ne lachait rien et 
remportait logiquement la victoire.