Le Progrès de Lyon - Sports - Jura - BASKET
       
          Mardi 17 janvier 2006 
           
            Dernière mise à jour : mardi 17 janvier 2006


              Drugeon : « On a évité le piège »
                    
              Alexis Drugeon (entraîneur de Lons, vainqueur de Colmar 77-68) 
              Pour tout dire, nous n'avons pas fait un grand match. On a 
              franchement manqué de rythme, ce qui est un peu compréhensible 
              pour une reprise. Avec Jeanguiot absent, Vuillaume en phase de 
              reprise et Sourbé qui revient après de longs mois de blessure, 
              l'équipe a eu du mal mais son grand mérite est d'avoir su éviter 
              ce match piège. Personnellement, je ne retiens que la victoire. 
              Maintenant, à Rixheim samedi prochain, il va falloir retrouver 
              notre gnac et notre esprit de sacrifice sous peine de grosse 
              désillusion. 
              François Favre (joueur de Poligny, vainqueur de Gilly 85 à 67) 
              Face à Gilly, nous avons eu un peu de mal à nous adapter en début 
              de partie, l'équipe adverse avait changé par rapport à l'aller et 
              était en réussite. Béranger a donné des coups et certaines 
              décisions arbitrales nous ont surpris. Cependant, nous avons su 
              redresser la barre sereinement en seconde période, sans nous 
              affoler, pour finalement prendre un avantage définitif. Je suis 
              content pour l'équipe car nous avions un peu d'appréhension avant 
              de rencontrer cet adversaire qui avait tout de même battu Menton 
              l'an dernier. J'espère que nous allons continuer et terminer la 
              saison dans le même état d'esprit. Dans ces conditions, tout 
              devrait bien se passer. 
              Wilfried Nema (entraîneur du Jura Dolois, battu par Strasbourg 43 
              à 68) 
              On a raté un match prenable. En début du match, on a fait jeu 
              égal. Les Strasbourgeoises n'ont pas été non plus 
              fantasmagoriques. On n'a pas mis d'intensité, il n'y a pas eu de 
              liant dans le jeu. On a perdu logiquement. A l'avenir, il faudra 
              montrer autre chose au public. Aujourd'hui, ça se situe au niveau 
              de l'envie. On perd de loin le troisième quart-temps (5-20), mais 
              c'est sur l'ensemble du match que l'on n'a pas su mettre de 
              rythme. La reprise est difficile, il va falloir se remobiliser.